top of page
Rechercher
  • Martine de Laburthe

Samedi 20 février - Aide moi à me lever - Famille Franciscaine



Lc 5, 27-32


Après cela, Jésus sortit et remarqua un publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts) du nom de Lévi assis au bureau des impôts.

Il lui dit : “Suis-moi.”

Abandonnant tout, l’homme se leva ; et il le suivait.

Lévi donna pour Jésus une grande réception dans sa maison ;

il y avait là une foule nombreuse de publicains et d’autres gens attablés avec eux.

Les pharisiens et les scribes de leur parti récriminaient en disant à leurs disciples :

“Pourquoi mangez-vous et buvez-vous avec les publicains et les pécheurs ?”

Jésus leur répondit :

“Ce ne sont pas les gens en bonne santé qui ont besoin du médecin, mais les malades.

Je ne suis pas venu appeler des justes mais des pécheurs, pour qu’ils se convertissent.”


Aide-moi à me lever.


Seigneur, à ton appel, Lévi assis, se leva ; et il te suivait… Ainsi fit aussi frère François, le Poverello d’Assise. Jésus, tu es celui qui fait se lever, qui ressuscite la vie en nous, en moi et fait aller de l’avant.


C’est comme une Résurrection…

Lévi donne une grande réception pour toi qu’il a choisi de suivre. Partager un repas avec quelqu’un, c’est lui dire qu’on se sent bien avec lui. Le repas est le lieu par excellence de la communion.

Comme Lévi, j’aime avoir du monde à ma table, des personnes toutes simples mais que je choisis…

Jésus, toi tu n’as pas hésité à partager l’intimité d’un repas avec quelqu’un qui n’est pas “fréquentable” !

Tu invites à passer au-dessus des frontières humaines.

Pour toi, chacun a de la valeur, chacun compte à tes yeux.

François a su également en te suivant dépasser ses peurs. Moi aussi je me sais appelée à me lever, à te suivre Jésus, à t’inviter à habiter ma vie, à aimer.

En effet, tu es venu appeler les pécheurs, et j’en suis, car la racine du mal, c’est le manque d’amour. Pour toi, il n’y a qu’une seule loi, celle de l’amour. Notre pape François nous le redit sans cesse. Aussi, Seigneur, tu connais mes faiblesses, mes limites ; je te demande de m’aider, là où je suis, avec ceux qui sont mes frères, aide-moi à vivre pleinement, en me levant, en me reliant avec les autres pour marcher avec toi sur les chemins de la vie. “Je sais que ce n’est que l’amour donné par Dieu ton Père, et notre Père, qui nous permet d’accueillir et de vivre pleinement la fraternité” (message du pape François pour la célébration de la journée mondiale de la paix, 2014).

Mme Chantal Auvray, Fraternité Franciscaine Séculière (FFS).


81 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout
Post: Blog2_Post
bottom of page